LE QUATUOR

Création
Transdisciplinarité
Éclectisme

Le JJAF Percussion Quartet, quatuor de percussions fondé il y a quelques années à Genève, mène une perpétuelle recherche musicale sur cette dimension de création au sein d’une interprétation innovante. Travaillant sur des transcriptions d’oeuvres de Jean Sébastien Bach, sur des oeuvres au caractère libre de John Cage, sur des pièces électro-acoustiques de Pierre Jodlowski et Philippe Manoury, ou encore sur le phasing propre à la musique répétitive de Steve Reich, les artistes analysent, décortiquent et déconstruisent les oeuvres pour mieux se les approprier et les métamorphoser. L’ambition est de proposer un nouveau rapport à l’oeuvre, questionnant le rôle des interprètes et des compositeurs dans le but d’insuffler une « vie libre » aux oeuvres. Cette façon d’envisager la musique – la matière sonore, le discours musical et le sens d’une oeuvre – se déploie dans une volonté de liberté tout en s’appuyant sur une connaissance des courants artistiques et musicaux, des compositeurs et des moyens technologiques qui permettent le modelage et la diffusion du son aujourd’hui. Par le choix d’instruments inédits, par une recherche de timbres innovants, par un travail sur la forme du concert et sur une spatialisation scénique de l’instrumentarium, – et parfois un redécoupage de la forme de la pièce -, le but est d’atteindre une vision propre et indépendante des oeuvres interprétées, tout en conservant une certaine proximité avec leur essence compositionnelle.

L’interprétation doit être animée et conduite par la force d’une idée inspiratrice. La puissance de cette idée permet seule à l’interprète le risque, toujours présomptueux, de se confier à l’élan secret d’une œuvre, pour s’attacher à ce qu’elle n’exprime pas et tenter d’en trouver l’expression. L’idée directrice elle-même se confirme alors par sa puissance d’éclaircissement.

Martin Heidegger

L’interprétation doit être animée et conduite par la force d’une idée inspiratrice. La puissance de cette idée permet seule à l’interprète le risque, toujours présomptueux, de se confier à l’élan secret d’une œuvre, pour s’attacher à ce qu’elle n’exprime pas et tenter d’en trouver l’expression. L’idée directrice elle-même se confirme alors par sa puissance d’éclaircissement.

Martin Heidegger

LE QUATUOR

Création
Transdisciplinarité
Éclectisme

Le JJAF Percussion Quartet, quatuor de percussions fondé il y a quelques années à Genève, mène une perpétuelle recherche musicale sur cette dimension de création au sein d’une interprétation innovante. Travaillant sur des transcriptions d’oeuvres de Jean Sébastien Bach, sur des oeuvres au caractère libre de John Cage, sur des pièces électro-acoustiques de Pierre Jodlowski et Philippe Manoury, ou encore sur le phasing propre à la musique répétitive de Steve Reich, les artistes analysent, décortiquent et déconstruisent les oeuvres pour mieux se les approprier et les métamorphoser. L’ambition est de proposer un nouveau rapport à l’oeuvre, questionnant le rôle des interprètes et des compositeurs dans le but d’insuffler une « vie libre » aux oeuvres. Cette façon d’envisager la musique – la matière sonore, le discours musical et le sens d’une oeuvre – se déploie dans une volonté de liberté tout en s’appuyant sur une connaissance des courants artistiques et musicaux, des compositeurs et des moyens technologiques qui permettent le modelage et la diffusion du son aujourd’hui. Par le choix d’instruments inédits, par une recherche de timbres innovants, par un travail sur la forme du concert et sur une spatialisation scénique de l’instrumentarium, – et parfois un redécoupage de la forme de la pièce -, le but est d’atteindre une vision propre et indépendante des oeuvres interprétées, tout en conservant une certaine proximité avec leur essence compositionnelle.

L’interprétation doit être animée et conduite par la force d’une idée inspiratrice. La puissance de cette idée permet seule à l’interprète le risque, toujours présomptueux, de se confier à l’élan secret d’une œuvre, pour s’attacher à ce qu’elle n’exprime pas et tenter d’en trouver l’expression. L’idée directrice elle-même se confirme alors par sa puissance d’éclaircissement.

Martin Heidegger

L’interprétation doit être animée et conduite par la force d’une idée inspiratrice. La puissance de cette idée permet seule à l’interprète le risque, toujours présomptueux, de se confier à l’élan secret d’une œuvre, pour s’attacher à ce qu’elle n’exprime pas et tenter d’en trouver l’expression. L’idée directrice elle-même se confirme alors par sa puissance d’éclaircissement.

Martin Heidegger